De Palmas, c’est fini. Après 30 ans d’une carrière entre ombre et lumière, il signe son dernier album « Sous un soleil de plomb » avec le second degré mélancolique qui le caractérise. Un album retour aux sources, aux accents du passé.
Gérald de Palmas, c’est mes 18-20 ans. Etudiants, on l’écoutait en boucle, sur un retour de vacances, une amitié contrariée, un chagrin d’amour… Souvent dans des moments de tourments, il faut bien se l’avouer.
Il y a toujours eu ce quelque chose de vacillant, dans les textes de De Palmas. Ses notes distillent un amour inquiet, un sourcil froncé, un sourire timide face à une situation délicate…
Et ce dernier album, celui des au revoir, ne déroge pas à la règle…
crédit photo : Jean Baptiste Mondino